lundi 20 février 2012

MAIS OU VA T'ON ?

Incroyable : nous sommes cinglés  !!
Stages de culture arabe pour la gendarmerie nationale

 Non, vous ne  RÊVEZ PAS, CE SONT BIEN DES GENDARMES...

Il y a 30 ans cette information aurait été classée « secrète » ! Silence, pas de vagues, on aurait convoqué les policiers à l’une des formations obligatoires et l’on aurait distillé celle qui consiste à former le policier à la culture arabe. Mais, heureusement, il y a Internet !  C’est pour ça qu’il dérange et on prépare ACTA après HADOPI et autres SOPA.
Mais pourquoi la culture arabe ? Ne sommes-nous pas tous égaux face à la police. Pourquoi pas bretonne, basque, berrichonne, corse?  Pourquoi faut-il que les policiers est une formation spécifique à la culture arabe et pas chinoise, ni sri lankaise, ni sénégalaise, ni malienne, ni vietnamienne, que sais-je encore ?
Faut-il croire que les arabes ont tendance à être plus souvent en contact avec la police ? Faut-il imaginer qu’ils auraient des liens particuliers? Qu’un policier ayant obtenu des « repères fondamentaux sur l’immigration et la culture arabe » sera mieux armé pour faire régner l’ordre républicain ?
L’information, vérifiée, vient d’être publiée sur Le Post.fr par un ancien fonctionnaire de police devenu écrivain : le ministère de l’Intérieur propose à ses policiers des stages d’adaptation à la “culture arabe”.
Selon les informations recueillies par Le Post (auprès de la direction régionale du recrutement de la formation à la police nationale de la région Rhône-Alpes-Auvergne), de tels stages seraient proposés dans le cadre de la formation professionnelle des fonctionnaires de police.
Ils ne seraient pas récents et relèveraient d’une initiative locale, non nationale.
Mais si le document publié sur “Le Post” (et reproduit ici):  

émane de la préfecture de police de Lyon, ce type de stages existe ailleurs, précise encore la direction régionale du recrutement de la formation à la police nationale de la région Rhône-Alpes-Auvergne.
En revanche, celle-ci ne dit pas si ces “repères pour un comportement adapté vis à vis des familles d’origine maghrébine” font preuve d’efficacité. Elle ne dit pas non plus si à contrario, il est prévu un vaste plan de formation pour les familles d’origines maghrébines par rapport à la police. C’est ce que l’on appelle le parallélisme des formes. Dans tous les cas, si j’étais policier, j’avoue que je serai assez désespéré!




Après les stages de culture arabe pour la gendarmerie nationale...
 Les infirmiers

suivent  une formation à la mosquée pour apprendre à “soigner les  croyants” ! 
Il  fut un temps où le personnel médical devait apprendre à  soigner les patients.  Nous entrons dans une ère où il doit apprendre à soigner les croyants.
Bienvenue dans le petit monde ubuesque du multiculturalisme!  
Les élèves infirmiers de Limeil Brévannes (94) ont des cours pour réussir à concilier la pratique religieuse des patients et les soins.  Ils ont découvert les rites musulmans à la mosquée de  Créteil. 
Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur  blanc dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec  une bonne gestion des soins ? Une trentaine d’étudiants de  l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI)  de  l’hôpital  Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.
Pour les uns, pas question d’être examiné par un médecin de sexe  masculin. 
Dans  un hôpital, il n’est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons  religieuses.…
«Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième  année ont fait entendre leurs réticences au motif qu’ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant  doit rester dans une position neutre, les  établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces  futurs infirmiers auront à prendre en charge des  patients qui  viennent avec leur histoire»,  explique Anna Giacomini, formatrice à l’IFSI.
Avant d’engager les discussions, Ibrahim, de l’UAMC (Union des Associations Musulmanes de Creteil), remercie les étudiants.

L’infirmier non-musulman doit ramasser le Coran du patient en se servant d’une couverture!
Les étudiants ont multiplié les questions. «Il paraît qu’un  non-musulman ne peut pas toucher un Coran écrit en arabe» ; «Comment fait-on si un patient hospitalisé le laisse tomber du  lit ?»  demande une étudiante.
Réponse:
«Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse barrière»

 «Si un patient ne  peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons médicales, comment peut-il  faire ses ablutions avant la prière?» interroge un autre étudiant.«Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet  passer cette pierre pour se  purifier s’il ne peut pas utiliser l’eau», indique l’intervenant.
Don du sang et don d’organes, jeûne du ramadan et grossesse, crémation… tout est passé en revue par les futures blouses blanches.
Dans ce cadre, la mosquée accueille également les  élèves de l’IFSI de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil.
Des discussions sont également en cours avec l’hôpital  Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif. 

LE  VER EST DANS LE FRUIT, DANS L'ARMEE COMME DANS LE PAYS  ! 

Et s'il y avait un conflit entre la France et l'Algérie  ??
   ... Aïcha, attirée par l'armée, ne s'imagine pas faire la guerre contre  les siens : Dans  ma tête, je suis algérienne, je ne me sens pas française. Pour  moi, l'armée c'est pas le fait de se lever pour une nation,  c'est découvrir un métier." !!! Un rapport du Ministère de la Défense de janvier 2007 invoque  "l'attitude intransigeante et revendicative tournant à la  provocation" des JFOM (jeunes Français d'origine maghrébine)  et de "la sur délinquance au sein même de leur  régiment."
Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité,  les JFOM (jeunes Français d'origine maghrébine, dans le  langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de  la bière en regardant des films pornos et qu'à la moindre  réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant  le racisme de l'officier qui, convoqué par le colonel, est  obligé de revenir sur la  sanction.  
À  Saint-Cyr, on envisage la mise en place d'un système inspiré  de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées  de zones d'éducation prioritaires.
Dans la  Marine
 Les officiers n'oublieront pas de si tôt la mutinerie  de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d'engagés  volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage  leur officier.  Après s'être retranchés 2 jours dans la  cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un  commando de fusiliers-marins. Ces «beurs » réagissaient contre  une punition collective infligée à la suite à la suite d'une rébellion survenue lors d'une mission au large de l'ex Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.

Vive la Nouvelle France.....



mercredi 8 février 2012

Allez-vous voter pour moi ?

Allez-vous voter pour moi?

J’ai 58 ans et
-      Je n’ai jamais dirigé une grande ville
-      Je n’ai jamais dirigé une grande région
-      Je n’ai jamais été ministre

-      Mon père était un riche bourgeois (Médecin ORL,
   propriétaire de Cliniques) et il militait à l’extrême droite
   aux côtés de Maître Tixier-Vignancourt et pour l’OAS.

-      J’ai passé mon enfance à Bois-Guillaume, ville
   résidentielle (sur les hauteurs de Rouen) où habitent
   les riches normands.

-      Je fus élève dans le privé à « St Jean-Baptiste-de–La-
    Salle » à Rouen

-     Puis j’ai continué mes études dans la commune des
  aristocrates et des grands-bourgeois : à Neuilly s/Seine
  où mes parents avaient acheté une superbe propriété.

-   Je n’aime pas les riches mais je gagne 30 387 € par
    mois et paye l’ISF.

-    Dans les années 70, sortant de l’ENA (et nous savons
    tous le mal que les énarques ont fait et font à la
    France …), je sens que la droite va perdre et que
   Mitterrand est sur la pente ascendante, pour assure
   mon avenir je choisis alors de rejoindre le PS.
  Je me rapproche de Mitterrand en draguant la nièce de
  Louis Mexandeau, alors ministre des P.T.T. et ami du
  président.
   Après je m’acoquine avec ma collègue de l’ENA,
   S. Royal, égérie du mitterrandisme. Ca aide !
   4 enfants plus tard, je la quitte car je suis amoureux d'une
    journaliste ... 

- J’ai été parachuté en Corrèze dès 1983.

- J’ai été directeur de cabinet de Roland Dumas, ministre
  de triste mémoire.

-  Je n’ai pas de véritable programme mais je sais noyer
    le poisson et parle bien de façon fumeuse.
    Alors ?

 Allez-vous voter pour moi ?
Je n’aime pas les riches, je ne gagne que 30387€ par mois et………
….je m’appelle François HOLLANDE


Député de Corrèze, Maire de Tulle (16 000 habitants.)...  dit Flamby, le capitaine de pédalo !

Les revenus mensuels de François Hollande :
30 387,43 €

Pour un candidat à la présidence qui se dit scandalisé par le salaire du président actuel, et qui veut le réduire...,  qui a jadis déclaré (chacun s’en souvient) qu’il n’aimait pas les riches et qu'en France on est riche à partir de 4 000,00 € mensuel, ça ne manque pas de sel.
 

 Voici en effet les vrais revenus annuels (hors donc les autres revenus du patrimoine immobilier, financier, etc.  
 
 1- Indemnité parlementaire :                                   63 090,96 €
 2- Indemnité de résidence :                                      1 892,76 €
 3- Indemnité de fonction défiscalisée :                   16 246,56 €
 4- Indemnité de frais de mandat :                           73 344,00 €
 5- Indemnité pour collaborateurs :                        102 636,00 €
 6- Indemnité de téléphone et courrier :                   79 320,00 €

 7- Indemnité de maire de ville moyenne:                 28 118,88 €

 Total annuel:            364 649,16 € 

Soit en mensuel :  364 649,16 € / 12  = 30 387,43 € 
Comparativement, et ce n’est pas inintéressant, le salaire mensuel de François Fillon premier ministre : 20 206,00€ !

dimanche 29 janvier 2012

Joies de la « Diversité » dans les transports public à Paris‏

Regardez ça attentivement.


Ca va vous arriver!

L'immigration est une chance pour la France! 
Le « politiquement correct » est une doctrine soutenue par une majorité débile, illogique et répandue par les medias officielles qui soutient qu’il est possible d’attraper une merde par le coté propre.

Par ailleurs:

Voilà ce que dit l'ancien ministre Azouz Begag:

« Aujourd’hui, il y a 577 députés, pas un seul Arabe. C’est un vrai scandale de représentation démocratique ».*
 Ainsi, parle Azouz Begag pour annoncer sa candidature dans la troisième circonscription du Rhône. Cet ancien ministre délégué à la promotion de l’Égalité des chances sépare donc les Français selon leurs origines ethniques. Il y aurait les « Arabes » et les autres à subdiviser d’ailleurs à l’infini.
Qu’Azouz Begag veuille être candidat, c’est son droit. Qu’il hésite entre l’investiture de François Bayrou ou de Dominique de Villepin, c’est son affaire. Qu’il ait choisi comme slogan « c’est Azouz 2012, ça rime », c’est le reflet de sa pensée politique. Mais qu’un ancien ministre se revendique d’une perspective communautariste, c’est un signe supplémentaire du délitement de la République.

Le programme du PS est enfin disponible.....bonne lecture !

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 Hollande François  
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Merci

Forsane  Alizza n'exclut pas la lutte armée si l'islamophobie s'intensifie

 
Le groupuscule Forsane Alizza, dont Claude Guéant a annoncé la dissolution, n’exclut pas d’appeler à la lutte armée si «l’islamophobie s’intensifie», a déclaré vendredi son «porte-parole», Mohammed Achamlane.
Alors qu’on lui demandait lors d’une rencontre avec des journalistes s’il pouvait appeler à la lutte armée, il a répondu: «C’est possible, si l’islamophobie s’intensifie de jour en jour».
«On va se communautariser. Si les gens ne comprennent pas que notre révolte va se traduire par des actes, il faut être complètement insensé»
Mohammed Achamlane qui s’exprimait près de la mosquée Omar Rue Jean-Pierre Timbaud à Paris, a évoqué des mosquées brûlées, des tags, des agressions et des stigmatisations dans les films, dans les chroniques et dans les journaux.
«Il se pourrait qu’un jour ça arrive. A force de stimuler la haine contre les musulmans c’est automatique», a-t-il insisté, entouré d’une vingtaine de ses partisans qui avaient le front ceint d’un bandeau portant la profession de foi islamique, le visage parfois dissimulé sous un keffieh. [...]
_________________________________________
NDLR : Bien que Claude Guéant a annoncé il y a trois jours la dissolution de Forsane Alizza, leur porte-parole a pu s'exprimer cet après-midi pendant plus d'une heure, en pleine rue, après une prière de rue des fidèles de la mosquée Omar (Paris XIe). Une personne s'opposant au rassemblement de Forsane Alizza a été évacuée par la force par les membres du groupe à la demande de leur chef (la scène a été filmée par la chaîne Al-Arabiya qui a également interviewé trois femmes intégralement voilées). Pourtant, deux voitures de police stationnaient en observation à 50 mètres.
"Nous sommes tous des arabes"nous dit Le Point!

 

Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l’humanité aurait donc fait une étape dans l’Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C’est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s’était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord. [...] Depuis sa venue au monde dans un petit bled africain, l’homme n’a cessé d’avoir la bougeotte. Les migrations font partie de sa nature. L’Europe et encore plus la France, située à son extrémité ouest, n’ont pas arrêté d’être enrichies par des vagues d’immigrants. Il n’y a pas de raison que cela cesse

mardi 15 novembre 2011

Evreii şi Comunismul din România


Veţi înţelege de ce îmi este greu să-l numesc cu titulatura oficială de Partidul Comunist Român. 
P.C.R. nu are nimic românesc şi  nu are nici un trecut istoric semnificativ în România. 
Legenda spune că a fost creat în mai 1921. Înainte au existat câțiva marxişti, intelectuali, fără nici o influenţă în afacerile publice din România. Ei erau influenţați de două figuri foarte active în viaţa societăţii româneşti: evreul ucrainian Constantin Dobrogeanu-Gherea (născut Solomon Katz) şi bulgarul Cristian Rakovsky (născut Krăstio Gheorghev Stancev) amic al lui Lenin şi Troțki.
Partidul din România a fost creat din iniţiativa şi sub controlul direct al partidului bolşevic sovietic.
Încă de la creare, a luat poziţii extrem de impopulare, de exemplu dezmembrarea României Mari, abia creată, care ar fi dus la înghiţirea Basarabiei de către Rusia Sovietică. (ceace s-a întâmplat mai târziu)
Partidul comunist dovedea prin astfel de poziţii că nu caută un succes electoral ci preluarea puterii numai prin forţă. Pentru astfel de poziţii el a fost scos în afară legii în 6 aprilie 1924.
Şi înainte şi după această dată el a fost condus de la Moscova unde se numeau secretarii partidului. Mulţi dintre ei nu cunoşteau limba română.

Secretari ai PCR (Partidul Comunist Român)
Intre 1948 si 1965 s-a numit Partidul Muncitoresc Român
Gheorghe Cristescu Plăpumarul (1921 – 1924)
Elek Köblös (1924 – 1927)
Vitaly Holostenko (1927 – 1931)
Alexandr Ştefanski Gorn (Danieluk) (1931 – 1936)
Boris Ştefanov Mateiev (1936 – 1940)
Fóriş István (1940 – 1944)
Gheorghe Gheorghiu-Dej (1945 – 1954)
Gheorghe Apostol (Aaron Gershwin) (1954 – 1955)
Gheorghe Gheorghiu Dej (1955 – 1965)
Nicolae Ceauşescu (1965 – 1989)   

Cei din lista de mai sus, care erau etnici români, erau nişte frustraţi; Gheorghiu-Dej, deşi o figură marginală a grevei Grivita 1933, a petrecut 11 ani în închisori sau internare în lagăre, în care timp a fost părăsit de nevastă. De o indiscutabilă carismă, ceea ce i-a permis să ia conducerea comuniştilor în închisori,  el  nu avea studii şi se simţea umilit în faţa unor intelectuali ca Lucreţiu Pătrăşcanu sau Ana Pauker.
Aceştia, şi în special Pătrăşcanu, au plătit scump frustrarea lui Dej.
Pătrăşcanu a fost un alt exemplu de frustrat, cu o origine nu tocmai potrivită partidului comunist; tatăl său a fost istoricul şi prozatorul D. D. Pătrăşcanu (1872 - 1937), iar mama sa provenea dintr-o familie boierească.
În timpul ocupaţiei Bucureştiului de către armatele germane, ungare şi bulgare (1916 - 1918), tatăl său, D. D. Pătrăşcanu, a avut o atitudine considerată  antipatriotică şi a fost închis pentru scurt timp după reinstaurarea administraţiei româneşti. În aceeaşi situaţie au fost Constantin Stere, Tudor Arghezi, Marta Bibescu, Tzigara-Samurcaş şi alţii.
Întreagă familie a căzut în oprobiu în perioada interbelică şi Lucreţiu Pătrăşcanu a suferit de ostracizarea societăţii bucureştene. Ca  reacţie, el s-a lansat trup şi suflet în mişcarea comunistă.
Frustrările lui Nicolae Ceauşescu aveau să răbufnească cu vârf şi îndesat prin anii 80. El era o făptură primitivă (chiar şi printre comunişti !), coleric şi semi-analfabet.
A avut nevoie de spectacole groteşti în care împăraţi romani, regi daci şi voevozi români îi «dau raportul» lui, neisprărvitului de la Scorniceşti.
A avut nevoie de recunoaştere, a publicat zeci de mii de pagini traduse în sute de limbi pe care nu prea le-a citit nimeni, nici măcar el !
Datorită lui Nicolae Ceauşescu, in ultimii ani ai existenţei acestuia, comunismul din Romania a fost o formă de despotism asiatic ridicol.
Sistemul comunist imaginat de Lenin permite ca o societate sa fie condusă după frustrările si bunul plac al unor lideri ca Stalin, Gehorghiu-Dej, Mathias Rakosi, Walter Ulbricht, Fidel Castro, Bolesław Bierut, Mao Tse Dung, Klement Gottwald sau N. Ceauşescu.

Ceea ce frapează când privim numele comuniştilor români din perioada aservirii absolute Moscovei, adică de la început, în 1921, şi până prin 1957, este prezenţa majoritară a unor element alogene.
 S-a văzut clar că în perioada cea mai neagră a comunismului din România în posturi de conducere, de represiune, în direcţiiile ideologică şi culturală se găseau în special evrei (adică proveniţi din familii evreieşti).  Aceştia au pus umărul cu sârg şi entuziasm să ducă România pe calea cea dezastroasă.
Judecaţi şi dvs.:
Ana Pauker născută Hannah Rabinsohn
Teohari Georgescu născut Burach Teskovich
Gheorghe Apostol născut Aaron Gershwin
Lothar Rădăceanu, născut Lothar Wuertzel
Iosif Kişinevsky născut Ioşka Roitman
Liouba Kişinevschi
Leonte Rautu născut Lev Oigenstein
Petre Borilă născut Iordan Dragan Russev
Vasile Luca născut Lukacs Laszlo
Alexandru Moghioroş născut Balogh Joszef
Silviu Brucan născut Saul Brükner
Emil Botnăraş născut Emilian Botnarenko
Walter Roman născut Ernő Neuländer
Miron Constantinescu născut Mehr Kohn
Alexandru Bîrladeanu născut Saşa Goldenberg
Eduard Mezincescu născut E. Mezingher
Leontin Sălăjan  născut Szilágyi Leon
Gheorghe Gaston Marin născut Ghiuri Grossmann
Leonid Tismăneanu născut Leon Moiseevici Tismeneţki,
Avram Bunaciu născut Abraham Gutman
Gheorghe Stoica născut Moscu Kohn
Maxim Berghianu născut Maximilian Bergmann
Gheorghe Pintilie născut Timofei Bodnarenko zis Pantiuşa
Dumitru Coliu născut Dimităr Kolev
Ion Vinţe născut Vincze János
Alexandru Nicolschi născut Boris Grünberg
Mihai Dulgheru născut Mişa Dulbergher
Mihai Florescu născut Misha Iakobi
Ana Toma născută Ana Grossman
Alexandru Sencovici născut Szenkovits Sàndor
Ştrul Mauriciu
Moises Haupt
Ştefan Coller (Koller)
Feller Moritz

Domeniul cultural
Aurel Baranga născut Ariel Leibovich
Marcel Breslaşu născut Mark Breslicka
Jules Perahim născut Iulis Blumenfeld
Nina Cassian născută Renée Annie Cassian
Veronica Porumbacu născută Veronika Schwefelberg
Alexandru Graur născut Alter Brauer
Alexandru Toma născut Solomon Moscovici
Ion Călugăru născut Ștrul Leiba Croitoru
Maria Banuş fata lui Max Banush de la banca Marmorosch Blank
A.E. Bakonsky născut Anatol Eftimievici Bakonsky
Ovid S. Crohmălniceanu născut Moise Cohn
Alexandru Jar născut Alexander Avram
Haralamb Zincă născut Harry Isac Zilberman
Mihail Davidoglu născut Moise Davidson
Ion Vitner născut Iţic Wittner
Alexandru Mirodan născut Alexander Zissu Saltman
Alexandru Jar născut Solomon A. Jacob 

Vechi ilegalisti:
Iosif Ardeleanu născut Dôme Adler (tatăl "marelui" jurnalist francez Alexandre Adler)
Haia Lifschitz
Ştefan Voicu născut Aurel Rotenberg
Zina Brâncu născută Haia Grinberg
Bela Breiner
Petru Năvodaru născut Petr Fischer
Barbu Zaharescu născut Bercu Zukerman
Belu Zilber născut Herbert Zilber
Vanda Nicolschi născută Sheiva Averbuch
Mircea Bălănescu născut Eugen Bendel
Remus Koffler
Serge Moscovici născut Srul Herş Moscowitz 
(tatăl fostului ministru francez Pierre Moscovici) 
Ilie Moscovici (unchiul precedentului)
Basil Spiru născut Erich Hutschnecker
Ştrul Zigelboïm
Max Goldstein
Petre Lupu născut Wolf Pressman
Leon Lichtblau
Olga Bancic născută Golda Benţion Bancic

E adevărat că în România interbelică, curentul antisemit era foarte puternic şi a dus la multe orori comise de anumiţi români.
Evreii nu aveau nici motiv să iubească societatea românească.  Poate asta explică aderarea lor în număr atât de mare la minusculul partid communist şi entuziasmul cu totul deplasat manifestat la ocuparea Basarabiei de către sovietici în iunie 1940.
Toate astea au dus, ca reacţie, la pogromuri şi atrocităţi îndreptate, ca de obicei, contra unor nevinovaţi.  Bineînţeles, barbaria unora nu justifică alte barbarii.
Dar dacă unii români s-au comportat odios înainte de război, mulţi evrei nu s-au comportat oare la fel de odios după război?
E adevărat că ei nu au acţionat în calitate de evrei, ci de comunişti, nefiind majoritari printre evrei. Uneori chiar alţi evrei au avut de suferit în urma acţiunilor acestor evrei comunişti. 
Comuniștii de origine evreiasă se lepădaseră de credința lor și erau minoritari în comunitatea evreiască (chiar dacă numărul lor pare imens de mare în minusculul PCdR).
Cei mai mulți evrei nu au fost comuniști. Majoritatea erau proprietari și aveau profesii liberale, nu doreau comunism și colectivizare, nu votau cu stânga și îi respingeau pe comuniști, printre altele și pentru că agitația făcută de ei aducea numai persecuții și nenorociri comunității.

Dar de ce oare faptele unor evrei din anii ‘50 nu dau oare de gândit evreilor de azi?
Responsibilitatea, fie ea numai morală, n-ar trebuii oare recunoscută şi asumată?
Germanii din noile generaţii îşi recunosc o responsabilitate morală şi materială faţă de evrei.  Au plătit şi continuă să plătească compensaţii colective statului Israel, dar şi individuale supravieţuitorilor.
Pe mulţi dintre evreii de azi nu-i mai interesează decât Auschwitz-ul  şi nu vor să ştie absolut nimic de Sighet, Aiud, Piteşti, Canal, etc. 
E normal să-i preocupe trista soartă a multor evrei în timpul celui de al II lea Război Mondial, dar n-au avut oare timp să remarce nici o crimă sau persecuţie contra românilor?
Când comunismul anilor  ‘60 a căpătat o tentă oarecum antisemită, mulţi dintre ei au plecat în Israel lăsând românilor “minunata” invenţie a lui Marx şi Engels. Acolo, unii foşti membri în aparatul represiv, s-au dat chiar drept victime ale comunismului!!!
Un exemplu este cel al lui Coler sau Koller, fost commandant al închisorii de la Aiud şi torţionar celebru. El susţinea că şi-a pierdut postul din cauza “antisemitismului românesc”!
La fel şi fostul lui şef, Mişu Dulgeru născut Moise Dulbergher.
Altul este cel al lui Jules Perahim (Iulis Blumenfeld) care în anii 50 și 60 tăia, spânzura și demasca alături de Leonte Răutu (Lev Oigenstein) iar mai apoi, la Paris, a devenit un mare dizident anticomunist.
În alte cazuri familile liderilor comuniști au emigrat în Israel ; 
de exemple fiica generalului Gheorghe Pintilie născut Timofei Botnarenko zis Pantiușa, creatorul securității și a soției sala Ana Toma născută Grossman,  fiica lui Leonte Răutu născut Lev Oigenstein, unul din fiii lui Ioșka Chisinevski și mulți alții.
Fostul soț al Anei Grossman, Sorin Toma fiul poetului „proletar“ Solomon Moscovici zis Alexandru Toma a plecat în Israel cu toată familia.
În ceace o privește pe Ana Pauker, venită din URSS să bolșevizeze țara, după moartea ei, în 1960, a fost incinerată și urna rezultată depusă la monumentul comunist din Parcul Carol (la vremea aceia parcul Libertății).
Când monumentul a fost desafectat, în 1991, urna cu cenușa Anei Pauker a fost dusă de familia ei în Israel.
Este clar că pentru acești comuniști, sau cel puțin pentru familile lor, adevărata patrie era Israel iar România era numai locul unde au efectuat „experietele lor sociale“ învățate la Moscova.
Şi totuşi, nu cred că evreilor de astăzi li se cere prea mult; să recunoască doar şi să-şi amintească şi de suferinţele provocate românilor de către unii dintre co-religionari de ai lor.
E mult?  E greu?
În 1984, câteva calugăriţe carmelite poloneze au înfiinţat o mică mânăstire în incinta fostului lagăr Auschwitz-Birkenau, actualmente muzeu, considerat simbol al crimelor în masă comise de nazişti şi, în particular, al uciderii evreilor. Ele voiau să se roage în acest loc simbolic pentru mântuirea tuturor. Comunitatea evreiască din întreaga lume a început o puternică şi violentă campanie de presă contra prezenţei acestei mânăstiri în acel loc, considerat de evrei ca unul aparţinând exclusiv memoriei «Soluţiei finale». Campania a fost extrem de intensă şi a durat 9 (nouă) ani!  În cele din urmă, la intervenţia Papei Ioan Paul al II lea, mănăstirea s-a mutat din fostul lagăr în 1993.
Prin analogie cu cele de mai sus, ce ar spune comunitatea evreiască dacă, de exemplu, fiul lui Heinrich Himmler  ar fi numit preşedinte al unui
« Institut de Investigare a Crimelor celui de al III lea Reich »? De altfel, el ar şti multe, din familie!
Bineînţeles, într-o societate normală nimeni nu e responsabil de faptele părinţilor săi.

Revenind în România, ce pot gândi oare victimele represiunii comuniste şi urmaşii acestora despre numirea lui V. Tismăneanu (Volodea Leonidovici Tismeneţki) în fruntea «Institutului de Investigare a Crimelor Comunismului şi Memoria Exilului Românesc»?
Dar despre desemnarea aceleeaşi persoane ca raportor al «Comisiei Prezidenţiale pentru Analiza dictaturii comuniste din România»?

Bineînţeles, într-o societate normală nimeni nu e responsabil de faptele
 părinţilor săi.
Dar totuşi ...