Incroyable : nous sommes cinglés !!
Stages de culture arabe pour la gendarmerie nationaleIl y a 30 ans cette information aurait été classée « secrète » ! Silence, pas de vagues, on aurait convoqué les policiers à l’une des formations obligatoires et l’on aurait distillé celle qui consiste à former le policier à la culture arabe. Mais, heureusement, il y a Internet ! C’est pour ça qu’il dérange et on prépare ACTA après HADOPI et autres SOPA.
Mais pourquoi la culture arabe ? Ne sommes-nous pas tous égaux face à la police. Pourquoi pas bretonne, basque, berrichonne, corse? Pourquoi faut-il que les policiers est une formation spécifique à la culture arabe et pas chinoise, ni sri lankaise, ni sénégalaise, ni malienne, ni vietnamienne, que sais-je encore ?
Faut-il croire que les arabes ont tendance à être plus souvent en contact avec la police ? Faut-il imaginer qu’ils auraient des liens particuliers? Qu’un policier ayant obtenu des « repères fondamentaux sur l’immigration et la culture arabe » sera mieux armé pour faire régner l’ordre républicain ?
L’information, vérifiée, vient d’être publiée sur Le Post.fr par un ancien fonctionnaire de police devenu écrivain : le ministère de l’Intérieur propose à ses policiers des stages d’adaptation à la “culture arabe”.
Selon les informations recueillies par Le Post (auprès de la direction régionale du recrutement de la formation à la police nationale de la région Rhône-Alpes-Auvergne), de tels stages seraient proposés dans le cadre de la formation professionnelle des fonctionnaires de police.
Ils ne seraient pas récents et relèveraient d’une initiative locale, non nationale.
Mais si le document publié sur “Le Post” (et reproduit ici):
Selon les informations recueillies par Le Post (auprès de la direction régionale du recrutement de la formation à la police nationale de la région Rhône-Alpes-Auvergne), de tels stages seraient proposés dans le cadre de la formation professionnelle des fonctionnaires de police.
Ils ne seraient pas récents et relèveraient d’une initiative locale, non nationale.
Mais si le document publié sur “Le Post” (et reproduit ici):
émane de la préfecture de police de Lyon, ce type de stages existe ailleurs, précise encore la direction régionale du recrutement de la formation à la police nationale de la région Rhône-Alpes-Auvergne.
En revanche, celle-ci ne dit pas si ces “repères pour un comportement adapté vis à vis des familles d’origine maghrébine” font preuve d’efficacité. Elle ne dit pas non plus si à contrario, il est prévu un vaste plan de formation pour les familles d’origines maghrébines par rapport à la police. C’est ce que l’on appelle le parallélisme des formes. Dans tous les cas, si j’étais policier, j’avoue que je serai assez désespéré!
Après les stages de culture arabe pour la gendarmerie nationale...
Les infirmiers
suivent une formation à la mosquée pour apprendre à “soigner les croyants” !
Il fut un temps où le personnel médical devait apprendre à soigner les patients. Nous entrons dans une ère où il doit apprendre à soigner les croyants.
Bienvenue dans le petit monde ubuesque du multiculturalisme!
Les élèves infirmiers de Limeil Brévannes (94) ont des cours pour réussir à concilier la pratique religieuse des patients et les soins. Ils ont découvert les rites musulmans à la mosquée de Créteil.
Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur blanc dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec une bonne gestion des soins ? Une trentaine d’étudiants de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) de l’hôpital Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.
Pour les uns, pas question d’être examiné par un médecin de sexe masculin.
Dans un hôpital, il n’est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons religieuses.…«Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième année ont fait entendre leurs réticences au motif qu’ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant doit rester dans une position neutre, les établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces futurs infirmiers auront à prendre en charge des patients qui viennent avec leur histoire», explique Anna Giacomini, formatrice à l’IFSI.
Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur blanc dans l’article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec une bonne gestion des soins ? Une trentaine d’étudiants de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) de l’hôpital Emile-Roux (AP-HP), à Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.
Pour les uns, pas question d’être examiné par un médecin de sexe masculin.
Dans un hôpital, il n’est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons religieuses.…«Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième année ont fait entendre leurs réticences au motif qu’ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant doit rester dans une position neutre, les établissements de santé sont des établissements laïcs mais ces futurs infirmiers auront à prendre en charge des patients qui viennent avec leur histoire», explique Anna Giacomini, formatrice à l’IFSI.
Avant d’engager les discussions, Ibrahim, de l’UAMC (Union des Associations Musulmanes de Creteil), remercie les étudiants.
L’infirmier non-musulman doit ramasser le Coran du patient en se servant d’une couverture!
Les étudiants ont multiplié les questions. «Il paraît qu’un non-musulman ne peut pas toucher un Coran écrit en arabe» ; «Comment fait-on si un patient hospitalisé le laisse tomber du lit ?» demande une étudiante.
Réponse: «Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse barrière»
«Si un patient ne peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons médicales, comment peut-il faire ses ablutions avant la prière?» interroge un autre étudiant.«Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet passer cette pierre pour se purifier s’il ne peut pas utiliser l’eau», indique l’intervenant.
Réponse: «Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose fasse barrière»
«Si un patient ne peut pas entrer en contact avec l’eau, pour des raisons médicales, comment peut-il faire ses ablutions avant la prière?» interroge un autre étudiant.«Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet passer cette pierre pour se purifier s’il ne peut pas utiliser l’eau», indique l’intervenant.
Don du sang et don d’organes, jeûne du ramadan et grossesse, crémation… tout est passé en revue par les futures blouses blanches.
Dans ce cadre, la mosquée accueille également les élèves de l’IFSI de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil.
Des discussions sont également en cours avec l’hôpital Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif.
Des discussions sont également en cours avec l’hôpital Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif.
LE VER EST DANS LE FRUIT, DANS L'ARMEE COMME DANS LE PAYS !
Et s'il y avait un conflit entre la France et l'Algérie ??
... Aïcha, attirée par l'armée, ne s'imagine pas faire la guerre contre les siens : Dans ma tête, je suis algérienne, je ne me sens pas française. Pour moi, l'armée c'est pas le fait de se lever pour une nation, c'est découvrir un métier." !!! Un rapport du Ministère de la Défense de janvier 2007 invoque "l'attitude intransigeante et revendicative tournant à la provocation" des JFOM (jeunes Français d'origine maghrébine) et de "la sur délinquance au sein même de leur régiment."
Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité, les JFOM (jeunes Français d'origine maghrébine, dans le langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de la bière en regardant des films pornos et qu'à la moindre réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant le racisme de l'officier qui, convoqué par le colonel, est obligé de revenir sur la sanction.
À Saint-Cyr, on envisage la mise en place d'un système inspiré de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées de zones d'éducation prioritaires.
Un jeune officier parachutiste raconte que, dans son unité, les JFOM (jeunes Français d'origine maghrébine, dans le langage militaire) passent leurs journées au foyer à boire de la bière en regardant des films pornos et qu'à la moindre réflexion, ils adressent au chef de corps un rapport dénonçant le racisme de l'officier qui, convoqué par le colonel, est obligé de revenir sur la sanction.
À Saint-Cyr, on envisage la mise en place d'un système inspiré de celui de Sciences-Po et de ses conventions avec des lycées de zones d'éducation prioritaires.
Dans la Marine
Les officiers n'oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch. Une soixantaine d'engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier. Après s'être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins. Ces «beurs » réagissaient contre une punition collective infligée à la suite à la suite d'une rébellion survenue lors d'une mission au large de l'ex Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.
Vive la Nouvelle France.....
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