jeudi 14 février 2019

Paris Insolite

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jeudi 9 août 2018

La lèpre ou maladie de Hansen, maladie infectieuse chronique



En 1993, en parlant de la fin des  ensembles multi-nationaux genre Empire Romain, Autriche-Hongrie, URSS, Yougoslavie et en pensant à l’avenir de l’Union Européenne, voila ce qu’écriait Vladimir Boukovski  (un grand visionnaire) dans « Jugement à Moscou ».
«  Il n’en reste pas moins que ce mariage forcé des nations européenne  peut que se solder comme les autres unions de ce type de notre histoire ;
  La cohabitation forcée est le meilleur  moyen de fabriquer des ennemis.
Mais dans dix ou quinze ans, quand cela se produira, pourrons-nous au moins espérer que les architectes de l’Europe unifiée admettront leur culpabilité ? 
Oh non, pas l’ombre d’une chance !   Ils blâmeront le nationalisme, l’intolérance, la xénophobie et la cupidité dont les Européens souffriront soudain sans raison apparente. 
Ils condamneront tout et tout le monde, sauf eux-mêmes. »    

La prévision était exacte et en plus, 23 années plus tard, ils ont inventé du nouveau :  ceux qui ne pensent pas comme la presse de gauche (pléonasme !) et /ou  les élites autoproclamés (Macron, Attali, Minc, Söros, Merkel, etc.) ont la lèpre !

Eh, oui, la lèpre ou maladie de Hansen, maladie infectieuse chronique, dixit Macron.

jeudi 8 mars 2018

L'islam est le cancer de l'Europe, les musulmans sont ses métastases !!!



Texte attribué à Gilbert COLLARD  député du Gard (2017)


Je n'ai aucun sentiment à l'égard de l'islam. Je m'en fous radicalement, tant qu'il reste dans ses terres.
Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n'en veux pas. Un point c'est tout.
Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l'islam à prospérer en France. Je nie que l'islam soit une religion.
C'est un totalitarisme comme l'indique son nom qui signifie "soumission" et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s'y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens y compris légaux".
Je nie que l'islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française.
Il lui est en tout point étranger, par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses murs.
Je nie que l’islam ait jamais apporté quelque chose à la France.  Aucun chef-d'œuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural.
Rien. Pas un écrivain n'a publié "Le génie de l'islam".  Nulle mosquée ne s'élève comparable à Chartres.
On attend encore un Francis Poulenc musulman.
On chercherait en vain, et pour cause, un réel génie islamiste.
 
Je nie que l'islam appartienne au patrimoine de la France. Il n'a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.
Aucune œuvre d'art, on l'a vu. Aucune œuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.
Où sont les "petits frères des pauvres" qui appliqueraient en France ce "quatrième pilier de l'islam": la Zakkat.
(En français: l'aumône que l'on traduit abusivement par la Charité) ?
Jamais la France n'a été aussi gravement malade.
Infecté par la maladie de la "collaboration", cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.
Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants.
Au cours des trente années à venir, il y aura suffisamment d'électeurs musulmans dans notre pays pour installer un gouvernement de leur choix, avec l'application de la Sharia en guise de loi.
Il m'apparaît que tous les citoyens de ce pays devraient pouvoir prendre connaissance de ces lignes, mais avec le système de justice et de médias libéraux combinés à la mode démente du politiquement correct, il n'y a aucune chance que ce texte soit largement publié.
C'est pourquoi je vous demande de le diffuser à tous les contacts de votre internet.


samedi 16 juillet 2016



“How do you tell a communist? Well, it's someone who reads Marx and Lenin. And how do you tell an anti-communist? Someone who understands Marx and Lenin.” – Ronald Reagan

mercredi 30 décembre 2015

Activités en Italie



Du 10 au 13 décembre2015 à Latina (Italie), j’ai été invité à participer à une série d’événements liés à la présentation du projet d’un documentaire ayant pour titre «Da Est a Ovest» et dont le sujet est l’ancien camp de réfugiés de Latina.
En effet, de 1957 à 1990, ce camp a accueilli des dizaines de milliers de réfugiés qui, pour la plupart, arrivaient des pays communistes d’Europe. L’existence de ce camp a été très longtemps occultée en Italie.

L’événement principal s’est tenu le vendredi 11 décembre à la faculté d’Economie de l’Université Sapienza qui a été installée dans les murs mêmes de l’ancien camp. Ce jour là, la faculté d’Economie fêtait ses 25 ans d’existence.
La télévision (RAI), la radio locale de Latina, ainsi que des journalistes de La Repubblica (le grand quotidien italien de centre gauche) et de la presse locale avaient été invités.
En présence d’environ 180 personnes plusieurs témoignages ont pu être entendus: Ceux de citoyens de Latina ayant été en contact avec les réfugiés (employeurs, fonctionnaires, anciens policiers) ainsi que ceux de 2 anciens « locataires » du camp : celui d’Aurelia Klimkiewicz, canadienne, ex polonaise et le mien, ancien Bucarestois.
Des documents, des films, des photos ont été présentés et des extraits de livres consacrés au camp de Latina ont été lus, dont quelques passages traduits en italien, de mon livre « Une Vie, Un Dossier ».
J’ai répondu au mieux à toutes les questions des médias présents (au moins 6 ou 7 interviews) dans un italien, hésitant au début, puis de plus en plus assuré !

La comparaison avec la situation actuelle n’a pas manqué. Le journaliste (de gauche) Emilio Druidi du « Il Messaggero » a dit que tous les réfugiés passés par Latina ne représentaient que 0,1% des réfugiés d’aujourd’hui dans le monde.
En mettant en parallèle l’ensemble les réfugiés économiques, climatiques, politiques ainsi que de différentes périodes historiques, avec la minorité passée à Latina, il essayait de minimiser l’histoire de ce camp.
La fuite du communisme était une action individuelle ; nous ne venions pas par millions. De plus, la majorité d’entre nous venions d’Europe (dont tout le monde a plein la bouche; l’Europe). Les migrants actuels viennent d’autres continents.
Malgré le temps qui passe, l’histoire des gens fuyant le communisme continue de déranger.

Voir sur l’événement:
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10206577234887367&set=pcb.10206577267288177&type=3)

Une autre conférence s’est déroulée le lendemain, samedi 12 décembre, au lycée technique Ettore Majorana de Latina en présence d’environ 200 élèves et professeurs.

Ces manifestations ont eu un grand succès. Il s’est avéré que les habitants de Latina ne connaissaient pas l’existence de ce camp et que c’est encore une surprise aujourd’hui.

Dans les années ’50, en Italie, le Parti Communiste représentait au niveau national environ 35% des votes. Dans la région de Lazio il en avait beaucoup plus. Il n’était certainement pas souhaitable de parler de ces gens qui fuyaient le « paradis communiste ». Selon la propagande communiste jusqu’en 1980, ces fuyards étaient des délinquants, de dangereux gangsters. 

Les abords du camp devaient être évités par les jeunes filles particulièrement de nuit. Les logements au voisinage du camp avaient perdu un tiers de leur valeur.

 

Dans toutes mes prises de paroles, j’ai évoqué l’inscription actuelle du mur à l’entrée du camp qui rend hommage aux réfugiés hongrois. Cette plaque aurait été installée à l’occasion du jumelage de la ville de Latina avec la ville de Pécs (Hongrie).

Une proposition a été faite à la mairie pour qu’elle en pose une nouvelle qui inclue tous les autres réfugiés d’origine si diverses.

Je pense que la mairie s’empressera de ne rien faire.

 

Le matin du 11 décembre, la journaliste à l’origine du projet de documentaire, Emanuela Gasbarroni, a organisé une rencontre (filmée) entre 3 personnalités communistes (un ancien sénateur et deux apparatchiks locaux, âgés d’environ 75 – 78 ans) et les anciens « locataires » Aurelia Klimkiewicz et moi.

Cela a été très intéressant car si le communisme est mort, certains communistes sont toujours vivants.

Ils ont commencé par des discours convenus et des généralités sur l’horreur du capitalisme et la nécessité de lutter contre, etc. etc.

A un moment donné j’ai entendu que les communistes italiens ont abattu le fascisme et le nazisme au cours de la 2ème guerre mondiale. Je suis intervenu en leur disant que moi, pauvre idiot, je croyais que cela a été fait par les Alliés et principalement en Italie, par l’armée américaine. Ils ont noyé le poisson.

L’ancien sénateur s’est déclaré communiste à vie et nous a dit qu’il n’avait jamais rien fait de mal, qu’il avait essayé de défendre les ouvriers, etc.

Là, je suis de nouveau intervenu, et bien soutenu par Aurelia Klimkiewicz, je lui ai dit que je pensais volontiers qu’il était sincère, mais, qu’il avait été quand même complice de tous les crimes du communisme. Le PCI avait participé à tous les congrès des partis « frères », avait toujours envoyé des télégrammes de félicitations à tous les leaders communistes à l’occasion de leur fêtes et surtout qu’il s’était bouché les oreilles pendant 40 ans pour ne pas entendre des multiples témoignages d’au delà du rideau de fer.

Il n’est pas sûr que ce passage soit conservé au montage !

Mais, je l’ai dit !

L’ambiance était tendue mais est resté civilisée.

Nous nous sommes quitté d’accord sur nos désaccords.

 

14 décembre 2015